Ar mor divent, the water is wide, la mer est immense

Souchon a raison : la vie intime est maritime. On vit comme au versant d’une Zone inondable. Constat d’ici, rêve d’ailleurs, le
rivage est la frontière naturelle, la ligne de démarcation, entre le trop sec de nos vies et un « mouillé » plus prometteur.

Envie d’île – Talua – chagrin d’elle – Robinson – combien de fois la mer, décor immédiatement identifiable pour se jouer le film du souvenir d’été – Kerlou – de l’écoulement des jours – Le coeur comme un volet qui bat – des brisants du coeur – Est-ce partir ?

La mer et les bateaux, symbole cinglant toutes voiles dehors ! – Transat, Balancelle – et dans l’arrière pays, notre vie qui suit son cours.

Ce n’est que de l’eau mais incontournable. Ajoutez les larmes de Montée des eaux, la photo d’Étretat dans Strapontin, la
sous-l’eau-graphie de Flottaison – une berge, c’est comme un rivage en petit – et je ne serai pas étonné que du haut du vallon de La chanson du bonheur… on aperçoive la mer.

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